Une soirée chaleureuse sur les planches du théâtre Georges-Méliès.
A la fin de l’été, l'association « Les Festejaïres del Cazal » lançait un projet de financement participatif, afin de pouvoir acquérir le mythique local de la grange, nécessaire aux divers préparatifs des fêtes célébrées en juillet, sur les hauteurs du hameau. Une fois obtenu un délai gracieusement accordé par John et Penny Delow, propriétaires des lieux résidant en East-Sussex (G.B), le projet a fédéré les adhésions, pour progresser de manière très encourageante.
C'est donc avec dynamisme et pour tonifier un compte toujours plus prospère, que le Dîner du Cazal était organisé le samedi 1er décembre dernier au théâtre Georges-Méliès. Cette rencontre festive, automnale et inédite, a permis de visionner de courtes séquences des fêtes du Cazal d’hier et aujourd'hui, avec quelques surprises réservées par les Festejaïres, dans une version dîner spectacle. Et toujours ce même fil rouge, qui fait la part belle à la bonne chère.
D’emblée, les riches heures du théâtre municipal seront revenues à la mémoire des plus anciens, distinguant les silhouettes furtives de Lucien, Louis ou Léon, aux abords d’un vieux guichet oublié. Il suffisait alors de prendre place sous les bas-reliefs célébrant la Musique et la Danse, pour que la fête recommence.

Eloignés de leur vénérable antre du Cazal, plus de 130 convives, que les Festejaïres craignaient de voir frappés par le mal du pays, ont en vérité goûté à de réjouissantes incursions dans le passé. Un passé à la fois proche et lointain, avec une émouvante succession de visages et de sourires que la mémoire de chacun garde en bonne place. Pour que la fête et son esprit perdurent, là-bas au pied de la colline du Tataoubas, qui renvoyait en cette première nuit de décembre, le son que venait de remettre Tonton Kéké.
L’espoir est désormais plus que jamais permis, avec une étape capitale à venir, qui devrait passer par une étude sise rue du Communal. Les personnes qui le souhaitent peuvent faire parvenir leurs dons en mairie, ou via le site http://feteaucazal.com/2018/09/le-cazal-a-besoin-de-vous.html
Un album-photos (partiel) Dîner du Cazal 2018 a été mis en ligne
Juillet 2015, le départ de la XIXe Course à la brouette est imminent.
La XVII° édition de la course internationale à la brouette constituera l’événement de ce dernier jour de fête au Cazal. Les vainqueurs des précédentes éditions seront là sans exception, prêts à relever un nouveau défi, sous le patronage de Sainte Marie-Madeleine. La crème des pilotes sera donc bien présente, mais au terme des essais réalisés en nocturne, aucun équipage n’a réussi à prendre l’ascendant.
Après Hervé et Guillaume en 2012, qui soulèvera le trophée dimanche soir ?
Samedi 20 juillet à 11 h et au départ de la place Charles Amouroux, opération «Vé’lib» sur les boulevards avec final sur la grand place du Cazal. A 15 h 30 au stade Roger-Raynaud, coup d'envoi de la IX° édition du Challenge Raymond Fort, match de rugby (flag) opposant une sélection des vieilles gloires de l'USC XV à une sélection des vieilles gloires des «Badalucs». A 20 h, grande mounjetado, inscriptions obligatoires auprès de Jean-Paul Subreville au 09 52 34 39 21 ou Francis Amouroux au 04 68 69 23 73 (prière d’amener les couverts). A 22 h, grande soirée avec «D J La Furgue».
Dimanche 21 juillet, messe en la chapelle Sainte Marie Madeleine à 10 h 30, suivie à 11 h 30 d’une exhibition de la batterie fanfare de «l'Avenir du Kercorb», autour du mât de cocagne. Un apéritif réunira aux alentours de midi les Cazaliens et leurs invités. A 17 h 30 sera donné le départ de la XVIIe édition de la Course internationale à la brouette. Le «Wheelbarrow Team del Cazal» réservera deux départs pour les équipages juniors et féminins, avant que le drapeau ne délivre les candidats masculins, en quête d’un trophée enlevé en 2012 par Guillaume Pons et Hervé Taurin. Lesquels seront présents au départ afin de défendre leur bien. La remise des prix se fera en musique avec la contribution de la banda «Les Entre-nous» et on pourra se restaurer sur place. La musique restera présente au pied des «Tataoubas» et clôturera les festivités 2013.